Les espèces végétales se sont développées de manière spontanée dans les espaces ouverts laissés après l’abandon de cultures agricoles. Les espèces pionnières sur terrains sableux comme les genêts s’y sont propagées suivies par les ronciers qui petit à petit préparèrent le sol pour les arbres pionniers comme les bouleaux verruqueux. Les saules et les noisetiers bien souvent plantés en bordure de sentier d’usage sont encore visibles le long des chemins. Les érables, les frênes, puis les charmes et les chênes ont formé des espaces boisés. A quelques mètres de là, les prairies encore pâturées ont permis de garder les zones ouvertes entourées d’aubépines dont la floraison anime les lisières au printemps.

Ainsi la variété des milieux nous offre des grands arbres comme des arbustes et des fleurs des prés.